Découvrez comment les injections de silic0ne ont ruiné la vie d’un mannequin

Un fait qui date de l’année 2015. Pour devenir une mannequin grande-taille à succès, Anivia Cruz-Dilworth n’a pas hésité à se diriger vers le marché noir pour des injections censées lui offrir des fesses plus rebondies. Aujourd’hui, la jeune américaine vit un cauchemar et décide de témoigner sur la chaîne d’Oprah Winfrey.

C’est bien connu, la chirurgie esthétique peut faire des ravages. Anivia Cruz-Dilworth, ancien mannequin, l’a appris à ses dépens. Il y a quelques années, cette jolie jeune femme était une modèle « plus-size » (« grande-taille » en Français) assez demandée. À cette époque, Anivia, qui travaillait pour l’agence Wilhelmina, était loin de s’imaginer que l’univers de la mode finirait par lui apporter plus de déboires que de gloire.

Car un jour, Anivia décide de s’acheter un plus gros derrière. Aux Etats-Unis, rien de plus simple. La chirurgie esthétique est monnaie courante, surtout dans le monde du mannequinat. Alors Anivia a recours à des injections de silicone à bas prix, ne pouvant se permettre d’aller voir un chirurgien de Beverly Hills.

Malheureusement, la belle brune tombe sur un praticien sans licence, qui utilise des substances nocives n’ayant rien à faire à l’intérieur d’un corps humain.

« Je n’avais pas assez d’argent, et j’ai trouvé quelqu’un à un prix abordable », confie l’invitée de l’émission Fix my life (« Arrange ma vie »), diffusée le 17 octobre sur OWN TV.

Problème : les injections sont tellement abordables qu’Anivia en devient accro. « C’était comme de l’héroïne. Je ne pouvais pas m’arrêter. »

C’est à ce moment que sa vie bascule. Anivia, qui pensait décrocher davantage de contrats grâce à ces injections, fini par en perdre : « Je voulais un contrat de modèle. J’ai commencé ces injections pour mes fesses… Et ensuite, je n’ai pas pu garder mon poids. J’ai commencé à mincir, mais mes fesses étaient si grosses et mon corps devenait si fin que je ne signais plus de contrat : je ne pouvais rentrer dans aucun vêtement. »